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Comment concilier une recherche spirituelle et notre réalité de tous les jours?

Souvent, dans notre "quête du Soi" nous nous mettons à considérer le monde comme illusoire, donc à nous en désintéresser.

Pourtant, ce monde des événements éphémères n'est que l'expression rayonnante du Soi.

Ce blog tente d'exprimer une attention à ce monde éphémère et à la source d'où il surgit.

L'équipe de brouillondeconscience

mardi 14 septembre 2010

Boire de l'eau, mais laquelle?


En regardant "Du poison dans l'eau du robinet"de Sophie Le Gall, on se demande bien quelle eau saine restera t-il bientôt sur terre?
Ce documentaire passionnant fait l'état des lieux sur les divers agents polluants, que l'on retrouve fréquemment dans notre verre d'eau, comme les nitrates, la poudre d'aluminium en cause dans la maladie d'Alzheimer, le radon et une trentaine de résidus médicamenteux (antidépresseurs, traitements contre le cancer, etc.)

"Les autorités le savent mais elles délivrent régulièrement des dérogations qui permettent de distribuer une eau impropre à la consommation.Pour protéger sa population de ce cocktail pharmaceutique qui pourrait devenir explosif, la Suisse installe des filtres actifs contre les molécules des médicaments. Alors que l’Europe somme la France de moderniser ses usines de traitement, notre pays ne cesse de minimiser l’ampleur de la pollution. Les communes et les grandes compagnies de distribution de l’eau ne souhaitent pas que de nouvelles règles viennent compromettre leurs affaires. Et tant pis si les Français trinquent à leur santé… "
 l'éco-blog Consommer Durable
Vous pourrez voir la suite en cliquant dans youtube sur les parties suivantes

Quand à l'eau en bouteille, c'est un désastre environnementale et de nombreuses eaux ne sont pas conformes aux normes sur l'eau de consommation (elles devraient être qualifies de non-potables). Une étude allemande a d'ailleurs montré que le plastique de ces bouteilles libère des perturbateurs endocriniens.

Reste le recours à l'eau filtrée, une solution individuelle, onéreuse et peu soucieuse de la préservation de l'environnement. La solution ne peut être que collective. Elle passe déjà par la reconnaissance de la pollution par tous, le gouvernement, les compagnies et coopératives du traitement de l'eau et les producteurs d'eau en bouteille. Ensemble, ils pourraient enfin prendre des mesures de protection de l'environnement en créant par exemple des zones "vertes" (boisées ou cultivées sans pesticides) autour des nappes et des captages.
Et nous pouvons aussi y contribuer en s'informant et en partageant la conscience de cet environnement.

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